Sorties de Samedi 14 et Dimanche 15 décembre 2013

Weekend très sportif, le samedi mon trail au phare s’est fait tout seul,  comme un grand, mes collègues avaient d’autres priorités, j’ai eu le temps de flâner et d’aller à mon rythme. 

Ce dimanche cela a été un peu diffèrent, parti de Ngor à pieds pour rejoindre la Statue de la Renaissance, j’y ai trouvé Miss et Agnès qui m’attendaient. On fait quoi ? Une heure et demie, pas plus. Ok on part donc à 8h 10 pour revenir à 9 h 40. Cela me va, je suis à jeune, pour enclencher le mécanisme de travail sur les graisses. On part en 5+1, à savoir 5mn de course et 1 de marche,  puisque on va courir 1h 30, direction la corniche.

Notre rythme nous amène bientôt en vue des trampolines qui se trouvent sur le parcours, et c’est là que Miss a l’idée de génie de nous initier à cette discipline. Comment résister,  on se lance donc pour quelque vol plané contrôlé,  tout se passe bien, c’est génial. On s’en sort sans traumatismes et on peut continuer la course, non sans que mes partenaires veuillent s’essayer aux appareils de gymnastique qui ont été implantés récemment sur la corniche.

Elles n’arrêtent pas, notre course continue, et toujours au même rythme on passe Soumbedioune. On ne regarde plus la montre, on l’entend juste nous rappeler les changements de style, course marche et c’est tout, on avance. Il est évident que un bon café nous ferait du bien, on décide donc de monter au plateau jusqu’au Fin Palais,  et c’est là qu’on s’attable, mais ce sera plutôt un chocolat, que nous allons déguster,  par hasard dans le local nous rencontrons notre ami Michel Thoumas, qui vient gentiment nous dire bonjour. C’est pas tout il faut rentrer. On redescend du plateau, on passe à Soumbedioune à nouveau, et en vue du Terrou-Bi notre Miss, toujours la même, nous entraine pour une petite baignade, l’eau est quand même fraiche,  cela ne fait rien, on se baignera aux moins les jambes.  

Maintenant il faut vraiment rentrer, on remet le 5+1 et nous  rentrons à la Statue, Je dois vous avouer que je suis un peu mort, cela faisait quelques moi que je n’avait pas fait cette distance, 27 km, heureusement que Agnès a pitié de moi et me ramené à la maison.

Je suis heureux, plus que jamais la course est un voyage.